Les pivoines

♪♫♪ Ricet Barrier – Les pivoines ♪♫♪

Un nouvel article axé sur un look tout simple, très estival. Ce jour là, j’ai traversé à pied trois arrondissements de Paris : les 8ème, 7ème et 6ème. Il faisait très beau mais pas trop chaud, le soleil était présent et j’avais des espadrilles super confortables. Je n’étais pas partie pour marcher “autant” (tout est relatif, Paris n’est vraiment pas une ville immense) mais je n’avais rien de prévu et j’avais des photos à prendre (toute seule). ^^ J’ai choisi ces espadrilles avant tout car elles sont vegan (sans aucun composant issu des animaux) et j’ai été plus que ravie de découvrir à l’usage qu’elles étaient plus confort que des pantoufles d’intérieur ! C’est surtout en Thaïlande que je les ai mises à rude épreuve, en gravissant plus de 1300 marches à la Tiger Cave Temple (Wat Tham Sua). Le dénivelé est de 600m… Il faisait accessoirement plus de 30° avec un taux d’humidité élevé. J’ai cru crever, pour résumer la chose.
Heureusement que j’avais chaussé ces espadrilles, qui en plus d’être jolies, sont éco responsables. Avez-vous entendu parler de One for One® ? Pour chaque paire de chaussures TOMS achetée, la marque s’engage à fournir des chaussures, de l’eau et de meilleures conditions d’accouchement à des personnes dans le besoin. Cela se déroule en Inde, en Chine, au Honduras et aux États-Unis.

  • Plus de 2 millions d’enfants sont désormais protégés contre l’ankylostome grâce aux médicaments et aux chaussures TOMS fournis par leurs partenaires-donateurs
  • 1000 élèves supplémentaires se sont inscrits dans des écoles primaires au Libéria suite à la distribution de chaussures TOMS
  • Grâce aux dons de chaussures, la participation aux programmes de santé maternelle de leurs partenaires-donateurs a augmenté de 42%

Pour ces photos, j’ai déniché cette petite rue à l’ombre (j’ai toujours du mal à gérer le soleil sur mes clichés, je vous le racontais ici) pas loin derrière The Conran Shop et le Bon Marché. Ce coin de la capitale fait vraiment partie de mes préférés : les immeubles Haussmanniens, les jolies boutiques de créateurs, les fleuristes, les cafés et surtout ce style bien particulier qu’ont les beaux quartiers. Les gens y sont définitivement plus élégants, à mon sens.
Aussi, en partant de la Place de la Concorde avec mon trépied dans un tote bag et l’appareil photo à la main, j’ai traversé Saint-Germain-des-Prés et ai fait route jusqu’à la rue de Rennes. Soit une petite balade d’environ 4km, en ne faisant pas le trajet en ligne droite. J’ai déniché un fleuriste par hasard, près d’un parc où je ne vais jamais et lui ai pris une brassée de pivoines venant de la proche région parisienne. Voici mon look du jour, avec ces magnifiques fleurs en guest !

P.S : Je profite de cet article pour faire passer un petit message que je garde pour moi depuis très longtemps. Les mégots de cigarettes au sol, partout, tout le temps… Pourquoi ?!
D’une part, le sol n’est pas un cendrier à ciel ouvert, d’autre part sachez (car les fumeurs semblent être très nombreux à l’ignorer) qu’il existe des cendriers de poche. Ce sont de petites boîtes cylindriques qui s’ouvrent et se ferment facilement et intelligemment, de façon à transporter sur vous vos mégots; avant de pouvoir ensuite les jeter dans une poubelle ou par terre, chez vous. 🙂
Je passe un temps fou à effacer ces déchets de toutes mes photos, quand je suis à Paris (merci Photoshop). Quand je voyage, je constate que ma ville est souvent de loin la plus sale de toutes, c’est honteux. Voilà, c’est dit.

SHOP MON LOOK :

Robe via Loavies (similaire ici)
Canotier en paille et velours Asos (Sold out, similaire en noir ici) Voir plus de chapeaux de paille ici
Espadrilles Katalina via TOMS (“via” = reçu en cadeau de la marque)
Panier Blair via Rock N’Rose
Boucles d’oreilles via Jollia

SHOP MON LOOK :

Stop à la pollution plastique des océans

♪♫♪ Ukulele Jim – The Ocean Song ♪♫♪

À l’occasion de la Journée Mondiale de l’Océan,  je poste cet article faisant logiquement suite à mes Stories du jour sur Instagram, ainsi qu’à cette publication de ma part.
Vous êtes pas mal à me dire que vous n’avez pas de compte Instagram et ne souhaitez pas en ouvrir un; je le comprends très bien et je me désole de prioriser de plus en plus ce réseau en dépit de mon blog. Tout simplement car c’est plus instantané et rapide pour moi d’y poster quelque chose.
Je tiens néanmoins encore beaucoup à partager ici du contenu qui me tient à cœur. En l’occurrence, les “Journées Mondiale de…” sont de parfaites excuses à embrayer sur un thème. Je l’ai fait pour la Journée Mondiale des Animaux le 4 octobre dernier, à l’occasion de l’adoption de notre deuxième chat. Mais je ne le fais pas assez et surtout, je crains que de n’en parler “que” sur Instagram passe vite à la trappe. Les réseaux sociaux sont des supports où tout ce qui passe est très éphémère. Mon blog est plus facilement consultable à loisir, grâce aux onglets et au champ de recherche.

La pollution est un sujet qui nous concerne tous, mais dont on entend -je trouve- trop peu parler au quotidien. “Ce que je ne vois pas n’existe pas” est un mantra ô combien faux et contre lequel je lutte sincèrement, dans tous les domaines. On peut tous constater la pollution : le long des autoroutes quand on se déplace, dans certains espaces verts, au bord de la mer, partout dans le monde. Il y a évidemment des endroits moins pollués que d’autre, mais globalement cela nous touche tous, qu’on le veuille ou non.
Rédiger cet article est donc la suite logique d’une prise de conscience, et surtout de l’importance que je mets dans le fait d’utiliser mon blog et les réseaux pour relayer ce qui me semble important. Certes, j’en enquiquine sûrement beaucoup parmi vous, mais je constate que la grande majorité me soutient, m’encourage, relaye à son tour et me pousse à continuer. J’ai également lu un article édifiant qui m’a fait froid dans le dos. Si je ne devais en retenir que deux phrases, cela serait celles là :

Le plastique semble aujourd’hui envahir la vie marine dans tous ses aspects. Selon une étude de la fondation Ellen Macarthur, si nous continuons à ce rythme, il y aura plus de plastique que de poisson dans les océans d’ici 2050. Ces objets en plastique, qui commencent leur vie sur terre, finissent dans les océans parce qu’ils ne sont pas collectés ou recyclés correctement.

Le plastique est une matière bon marché, durable et polyvalente, et c’est ce qui le rendait si attractif au départ. Aujourd’hui, c’est précisément ce qui nous désole (…).

Du coup, je vous invite logiquement à le lire, dans un premier temps, puis de vous poser deux minutes et de faire le point sur vous-même. Je suis la première coupable à avoir bu des dizaines de bouteilles d’eau minérale, quasiment toutes en plastique, durant nos vacances en Thaïlande. Seul un de nos trois hôtels était éco friendly, et proposait uniquement des bouteilles en verres, consignées. Il était interdit de les emporter à l’extérieur, puisqu’une fois vides, elles étaient récupérées pour être réutilisées. Sur dix jours de vacances j’ai eu moins mauvaise conscience seulement les 4 ou 5 derniers jours… C’est très peu ! L’exemple de le Thaïlande est donc “idéal” puisque là bas, même la plupart des locaux ne boivent pas l’eau du robinet, jugée trop impropre à la consommation.
Les bouteilles en plastique sont par conséquent le triste quotidien et la seule solution fiable pour s’hydrater. Seulement, énormément de ces contenants finissent sur les plages, dans la nature, par terre, partout… Même dans les coins les plus reculés où nous nous sommes baladés, il y avait des détritus en plastique. Je regrette de n’avoir pas pris de photos. Et de ce fait, je réalise que j’ai tendance à réellement ne vouloir photographier que l’esthétique, en ne sortant jamais mon appareil quand ça n’est pas beau. Pourtant, j’aurais eu pas mal de clichés de ce qu’on a vu et ramassé, à partager ici.

Même problème avec les pailles, qui sont distribuées à tout va : ici, en terrasse de café et ailleurs (en Thaïlande, puisque j’illustre cet article avec des photos prises là bas). Je n’ai pas encore le réflexe de demander ma grenadine sans paille et me retrouve à la laisser sur la table, en contribuant au problème de fond. On estime que chaque minute, 80 à 120 tonnes de déchets finissent en mer. Une grande partie sont des déchets plastiques. La négligence est la principale cause de cette pollution, sans compter les catastrophes naturelles (tsunami, etc.) qui entrent en jeu. Inutile de préciser que tout ce plastique tue la faune et la flore marine. On retrouve des animaux et oiseaux morts, l’estomac remplis de bouchons, sacs et bouteilles en en plastique.
Nous avons ramassé énormément de détritus, surtout au bord de l’océan, sur les plages. Sur les plages désertes, il n’y avait pas de poubelle à proximité; nous avons fait en sorte que ces déchets soient le plus éloignés de l’eau afin de ne pas être emportés par le courant. Sur les plages fréquentées, les touristes laissaient sous nos yeux leurs gobelets et bouteilles vides… Comme si cela n’était en aucun cas leur devoir d’aller les déposer dans une poubelle ou dans les containers dédiés aux bouteilles en plastique. Nous n’avons rien dit parce que nous étions en vacances et en mode détente, mais je vous assure que cela m’a plus d’une fois mise hors de moi… L’égoïsme et le manque de jugeote de certains est à peine croyable. Nous avons ramassé et jeté à leur place, donc.

Cet article n’a pas pour but de dresser une liste exhaustive de solutions et de me poser en modèle à suivre. Cependant, je crois en la communication. La plupart des soucis que l’on rencontre entre êtres humains repose entièrement et totalement sur un problème de communication. Là encore, je n’ai pas réponse au problème, mais je sais pertinemment qu’il vaut toujours mieux essayer d’échanger pour résoudre un conflit ou un quiproquo. Cela n’est pas toujours possible, mais je m’y efforce en tout cas.
Je constate bien que ma “voix” est entendue. Petite voix, je ne me targue pas d’être une “influenceuse” (je déteste ce terme) mais en tout cas, vous m’expliquez souvent que vous aimez me suivre justement parce que je ne me contente pas de partager de jolies tenues et des bons plans avec code promo à tour de bras. Merci d’être sensibles à ce discours !
Aussi, afin d’essayer de rendre mon passage sur Terre utile, je souhaite apporter ma pierre à l’édifice et essayer de vous encourager à faire au mieux chaque jour de votre vie. Prendre conscience que nous polluons en vivant est une chose, mais tenter d’enrayer cela en changeant concrètement quelque chose, c’est énorme. Vous réalisez que si tout le monde (je me suis forcée à ne pas l’écrire en majuscule, car je n’ai pas envie qu’on pense que je crie, ha ha) modifiait un geste routinier qui pollue, cela serait tout simplement génial ?

Autre chose que l’on doit tous faire : arrêter de boire de l’eau minérale en bouteille. En France, nous avons la chance de pouvoir boire l’eau du robinet : elle est potable. Nous ne buvons que ça, tout le temps. Ou l’eau des fontaines quand on fait du vélo et que l’on souhaite remplir notre gourde en alu.
Vous avez été nombreuses à m’écrire “Oui mais chez moi l’eau n’est pas bonne/ trop calcaire”. Investissez dans une verseuse qui filtre l’eau du robinet, bien que ce système ne soit pas des plus green (Les cartouches, qui sont traitées aux sels d’argent pour ses vertus stérilisantes, diffusent de l’argent dans l’eau, alors que le liquide du robinet n’en contient pas à la base ! Plus « absurde » encore, elles bloquent le calcium, indispensable à l’organisme : filtrer l’eau ne permet pas de séparer le bon grain de l’ivraie.) (source)
La solution la plus écolo semble être le filtre à robinet. Il fonctionne comme la carafe à eau, sauf qu’il se fixe directement sur la bague du robinet. Il contient également une cartouche à charbon qui permet de filtrer en moyenne 1 200 litres. Il supprime les mauvaises odeurs en éliminant le chlore, mais aussi les pesticides, les nitrates, les métaux lourds (mercure, arsenic, aluminium, chrome…) et le plomb. Comme l’eau ne stagne pas dans un récipient manipulable – et donc n’attrape pas les cochonneries des mains qui le tripotent – la profusion microbienne n’a pas lieu comme pour la carafe. S’ils sont changés tous les trois mois, les filtres restent efficaces. Les premiers prix sont fixés à 35 euros. (source)


Heureusement, il y a du positif. Après la découverte en 1997 par Charles Moore d’une immense plaque de déchets plastiques grande comme 6 fois la France, en plein cœur du Pacifique, cette situation est aujourd’hui connue de tous. Des gens agissent. Comme par exemples ces marques qui récupèrent les déchets plastiques marins pour les transformer en vêtements, baskets ou encore surfaces routières. Pour ne citer qu’elles, il y a Parley for the Oceans, G-Star RAW for the oceans, Adidas, Stella Mc Cartney, Ecoalf, les maillots de bain luxe Vilebrequin, Kenzo en 2013 avec leur collection “No Fish No Nothing” en association avec la Blue Marine Foundation, Vivienne Westwood, associée elle à Greenpeace à travers la campagne “Save the Arctic” financée par une ligne de t-shirt, etc.
Je ne mentionne pas les enseignes qui reversent des fonds et soutiennent activement des associations engagées, comme Sea Shepherd Conservation Society. Leur mission est de poursuivre avec leur flotte les pêcheurs braconniers, partout dans le monde. Le capitaine Paul Watson a tiré la sonnette d’alarme, en annonçant qu’à ce rythme effréné de pêche intensive, les océans seraient vidés de leurs poissons d’ici à 2048. Plus de corail non plus, d’ici 2050. Pour essayer de remédier à ça, trois organisations philanthropiques (Bloomberg Philanthopies, Tiffany’s & co Foundation et The Paul G. Allen Foundation ), ont décidé de s’unir pour sauver les coraux, avec leur plan “50 reefs“. Le principe ? Protéger 50 récifs de corail, fragilisés par la pollution marine et le réchauffement climatique, pour qu’ils servent ensuite à reconstituer des zones de coraux déjà détruites. (source)

Si vous avez suivi mes Stories la semaine passée, vous avez certainement vu passer ma collab avec Yves Rocher et ces gestes écolos que je partageais au quotidien. Cela a suscité énormément de réactions positives, et je vous en remercie très chaleureusement ! Mon concours pour gagner un soin en Insitut et les produits de la marque se déroule ici (attention, il prend fin ce soir à 21h). J’adore lire vos commentaires, me racontant quels sont vos gestes écolos du quotidien. C’est génial d’avoir simplement réalisé l’empreinte qu’on laisse, quoi que l’on achète ou fasse.
Dans la lignée de ces petits gestes, ne perdons jamais à l’esprit de ne rien laisser derrière nous, où que l’on aille. Cela vaut pour le moindre petit déchet : gardons les dans notre sac, notre poche, pour pouvoir les jeter ensuite dans une poubelle adéquate. Les micro plastiques sont également source de pollution énorme, donc une catastrophe pour l’environnement aussi.

N’oublions pas que si le problème du plastique dans les océans n’est pas enrayé très rapidement, d’ici 2025 (dans 7 ans) c’est 250 millions de tonnes de plastique qui s’y retrouveront. Il y aura alors plus de plastique que de poissons dans la mer… Inutile de rappeler qu’il n’y a pas de planète B.

Guépard Massaï

♪♫♪  Supertramp – Goodbye Stranger ♪♫♪

Il y a des années que je ne vous avais pas présenté de vêtements de la marque EKYOG, ici sur mon blog. Mais il y a déjà des années que je m’intéresse à une mode plus éthique, moins polluante, plus respectueuse des hommes et de la planète. C’est un sujet complexe et surtout sensible : mon métier est de présenter des vêtements et de les faire vendre. Je gagne ma vie essentiellement ainsi. Il me semble donc primordial de mettre en avant des marques engagées, qui sont à soutenir. Du moins, je suis ravie si je peux contribuer à vous les faire (re)découvrir, car c’est ce qui se passe bien souvent. EKYOG a d’ailleurs publié cet Instagram que j’ai posté dans mes Stories. Leur message fait totalement écho en moi, et je me permets depuis de reprendre leur phrase : “Soyez exigeantes, mais pas intransigeantes“.
La pièce forte de cette tenue est mon teddy EKYOG, donc. J’adore son nom : Rabir Print Guépard Massaï. Il est en coton bio, qui, en plus de ses propriétés éco-responsables, est une matière respirante, hypoallergénique et préserve des bactéries. EKYOG est une marque éco-responsable et éthique. A chaque étape : le RESPECT comme exigence. Ils ont leur propre charte éthique, afin de garantir le respect des hommes qui interviennent sur l’ensemble des filières. Le choix de partenaires est basé sur le partage et le respect d’un même engagement. Dans un souci de respect de la santé des hommes et des femmes qui travaillent avec eux, ils interdisent d’utiliser toute substance toxique ou nocive dans l’élaboration de leurs modèles. Modèles qui ont une traçabilité garantie, de l’approvisionnement matière jusqu’à la confection, en passant par les teintures. Bref, ce n’est que positif si tant est que l’on souhaite continuer d’acheter des vêtements neufs, et non se fournir exclusivement en friperies ou que l’on fabrique soi-même ses vêtements. ^^
J’espère que ce look vous plaira ? Je l’ai shooté en solo rue de la Lune, à Paris. J’adore ce nom ! Cela doit être assez chouette de donner son adresse : “J’habite rue de la Lune” ! Le nom de la rue où je vis fait nettement moins rêver, haha !

SHOP MON LOOK :

/



Teddy Rabir Print Guépard Massaï via EKYOG
Blouse blanche Zara (ancienne collection)
Combi-pantalon en tissu Prince de Galles
Boots Zara (appartenant à ma mère, ancienne collection)
Sac en simili via Anthropologie
Boucles d’oreilles en raphia Mango (sold out)
Bagues via Agnès de Verneuil

SHOP MON LOOK :

/

Un week-end à Amsterdam en mars

J’avais très envie de retourner à Amsterdam… en grande impatiente que je suis, j’ai planifié notre weekend légèrement “trop tôt”. Nous sommes partis tout début mars dernier et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’on a eu FROID ! Mauvais timing, parce que je m’étais promis de ne plus voyager vers le Nord en dehors du printemps ou de l’été. Il y a notamment Berlin, que je n’ai visité qu’en hiver à chaque fois que j’y suis allée. Très mauvaise idée… Surtout en pleine vague de froid, en janvier/février 2012 !

Cela étant dit, je rêve désormais de retourner plus longtemps à Amsterdam, en plein été. Il est forcément plus agréable de se balader, de faire la queue devant un café ou juste de rouler à vélo sans avoir besoin de gants, de bonnet et d’écharpe, engoncé dans deux pulls et un manteau. Ha ha !
De plus, après avoir testé les promenades accompagnés par un super guide français via Amsterdam Vélo, je voudrais vraiment faire une balade avec Amsterdam Bateau ! Il s’agit de la même enseigne, sauf que la seconde option consiste à naviguer à l’heure de l’apéro, sur les canaux de la ville. Nous aurions pu tenter l’expérience, mais je vous avoue que le froid nous a vraiment découragés.
Notre balade à vélo avec Pierre était sur le thème du Street Art. Il nous a donc emmenés à NDSM : un ancien chantier naval situé sur les rives de la rivière IJ dans le quartier d’Amsterdam Noord. “Ce chantier NDSM s’est transformé en lieu culturel incontournable au cours des dernières années avec une communauté artistique dynamique et une variété sans cesse croissante de bars et de restaurants. Avec des espaces dépassant la superficie de dix terrains de football, des nombreux festivals et autres évènements sont régulièrement organisés dans ce cadre post-industriel si unique. À présent berceau des entrepreneurs culturels et théâtre de festivals, on y trouve désormais le siège de la station musicale MTV, un immense skatepark intérieur et l’IJ-Kantine, un restaurant installé dans l’ancienne cantine du chantier NDSM. Deux autres excellentes options : le Pannenkoekenboot (le bateau à crêpes), et le Noorderlicht, un restaurant dans une coupole transparente. ” (source) Nous avons déjeuné à l’IJ-Kantine, ce n’était pas donné compte-tenu des quantités ridicule. Passez votre chemin, donc.

Vous avez été quelques unes à me demander mes “bons plans logement” à Amsterdam… Navrée de vous avoir déçues, mais je n’en ai aucun. Notre hôtel était le “De Hallen” (près du “Food Hallen” où nous n’avons même pas eu le temps d’aller…) et comme tous les hôtels dans le centre de la ville, il n’était pas donné. Nous avons comparé la location type Airbnb aux tarifs des hôtels, et tout était sensiblement similaire. À moins de s’excentrer, comptez environ 200€ la nuit pour être situé dans le centre. En revanche, il y a un choix plus qu’énorme de lieux où se restaurer pour pas cher (il y en a pour tous les goûts, partout) et le choix pour les végétariens/ vegan est assez omniprésent j’ai trouvé.
Pour ce week-end, Nikon m’a prêté deux objectifs. J’ai nettement plus utilisé le 35mm f/1.8 qui est parfait pour les photos d’architecture et de paysages. Je viens d’ailleurs de me l’acheter, si vous me suivez sur mes Stories Instagram. J’en suis ravie !!

Voici mon récap en photos de ces 48h :

Amsterdam Vélo
Spuistraat 110
Ouvert tous les jours de 10h à 17h
Téléphone : +31641176032

 

Côn Đảo

J’inaugure mes publications sur le Vietnam ! Il était temps. J’ai été conviée en blog trip par Vietnam Airlines, compagnie aérienne proposant 14 vols directs par semaine au départ de Paris et au départ de 19 villes de province avec TGVair. Vietnam Airlines dessert 21 villes à travers le Vietnam et 28 destinations internationales en Asie, Europe et Australie

Pour débuter ce carnet de voyage : l’île de Côn Đảo ou île Poulo-Condore. Celle-ci fait partie d’un archipel de seize îles, devenues réserve naturelle protégée. Située au sud-est du Vietnam, dans la province de Bà Rịa-Vũng Tàu, nous y avons passé quelques jours  au sein de notre blog trip en décembre dernier. Un autre article sur le reste de nos destinations au Vietnam arrive dans la foulée de celui-ci.
Cette île de 51 km² est située à 1 petite heure de vol depuis Ho Chi Minh Ville. L’aéroport de Côn Đảo est le plus petit que j’ai jamais vu de toute ma vie ! ^^ En arrivant sur place, une sensation d’apaisement instantané avec les villes visitées. Ici, comme sur beaucoup d’îles, on est au calme absolu, loin de toute nuisance sonore. La nature est omniprésente, et la mer absolument magnifique. Nous avons séjourné au Poulo Condor Resort : une pépite haut-de-gamme, nichée dans la verdure, en bord de mer. On ne peut entendre que le pépiement des oiseaux et le chant des cigales au sein de ce resort : c’est tout. Le silence est un luxe dont j’ai pleinement conscience et qui m’est indispensable au quotidien. Si je souligne autant ce ressenti qui a été le mien, c’est pour pleinement vous faire comprendre l’ambiance invitant à l’apaisement et l’atmosphère unique qui règne sur cette île.
Les photos sur la plage privée de 750m de long ont été prises sur celle attenant à l’hôtel. Les chambres (Junior Suites) sont immenses, situées dans de charmants bungalows de style colonial. Le service est discret, attentionné, parfait. Cette île a été une vraie “coupure” bienvenue au sein de ce voyage rythmé, j’ai adoré avoir la chance de découvrir un petit bout du Vietnam et d’être allée sur Côn Đảo.
Je vous reparlerai plus longuement de notre génial guide local, durant ce voyage, dans mon autre article. Il est vietnamien mais parle un français impeccable ! Très sincèrement, je crois bien n’avoir jamais eu de guide aussi passionnant durant un blog trip. Il s’appelle Tung et il accompagne des groupes d’individuels entre juin et octobre; les autres mois, il a de nombreuses demandes de groupes et ne peut forcément répondre aux demandes. Si vous êtes intéressés, voici son email : tungobservateur@gmail.com

J’espère que ces clichés vous plairont ? Êtes vous déjà partie au Vietnam ? J’adorerais lire votre avis dans un commentaire.

Follow @hellovalentine on Instagram

Copyright © 2023 · Theme by 17th Avenue

Copyright © 2023 · Amelia on Genesis Framework · WordPress · Se connecter