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Happy 6 to Hello it’s Valentine !

13 juin 2015

Il y a 6 ans et quelques jours, le 1er juin 2009, je postais mon tout premier article de blog ici, sur Helloitsvalentine.
Je venais d’acheter un petit appareil photo numérique et je shootais tout ce qui m’entourais, de petites choses du quotidiens à mes copines, en passant par mes sorties et déjà, mes voyages. À l’époque, j’étais graphiste print la semaine et je cousais des doudous durant mon temps libre pour arrondir mes fins de mois. Mon premier post de blog présentait une des ventes de créateurs à laquelle j’avais participé le weekend précédent. On y voit entre autre, mon amoureux, qui m’apportait mon tout premier vélo vintage pliant qu’il était allé récupérer pour moi ! Quel joli souvenir…
Six ans plus tard, le contenu a légèrement évolué, à l’instar de mes goûts, mes envies, mes capacités en photographie, mon caractère aussi… Mais je ne vous apprends rien, vous l’avez constaté par vous-même à en croire vos adorables commentaires sous mes concours Instagram “HELLO IT’S MY BIRTHDAY” du moment. Je ne vais pas m’étendre, je souhaitais simplement vous remercier sincèrement d’être toujours là (pour celles qui le sont ! Ha ha) et d’être bienveillantes. C’est un terme que j’emploie très souvent, mais c’est primordial à mon sens, d’avoir du soutien bienveillant quand on blog et qu’on en fait son métier. Je travaille en effet très dur pour continuer de publier du contenu varié et qui me plaît avant tout, ici. Que cela vous plaise également reste ma priorité et je mets tout en œuvre pour essayer de vous surprendre, vous divertir, rester une parenthèse ensoleillée et pétillante pendant votre pause au travail, votre moment à vous le weekend ou le soir.

Merci à toutes (et tous, même si vous êtes en minorité) de m’encourager au quotidien en laissant un petit commentaire sous mes posts : je les lis tous et en suis très touchée. Oh, je sais bien que vous aimeriez une réponse systématique et que je vous avais plus ou moins promis d’essayer de m’y tenir… C’est compliqué. Le temps que je ne passe pas à vous répondre, je le passe sur mon prochain article ou à répondre à des mails que je reçois en très grand nombre, chaque jour. Je suis lucide : je ne peux arriver à tout faire, car je suis seule; pas de stagiaire ni d’assistante personnelle. Mon blog est MON activité, je vogue désormais en solo : sans agent, sans régie publicitaire pour m’épauler et ça me convient bien mieux ainsi. Je gère tout, peut-être pas à la perfection, mais de façon sincère, droite et posée. À temps plein, sans réel weekend ni vacances, puisque mon laptop ne me quitte pas.

La suite ? Vous l’avez remarqué, le voyage est à l’honneur en ce moment et je pense enrichir cet espace avec de plus en plus de destinations que j’aurais eu la chance de visiter. Demain, je décolle pour les îles de la Réunion et Maurice, pour six jours, en blog trip ! Suivez moi sur Instagram pour ne rien rater de ce que je partagerai avec vous.
Mon seul but : arriver à rester cette petite parenthèse dans votre quotidien, sans vous lasser. Je vous invite chaleureusement à me donner votre ressenti constructif, vos conseils, me faire part de vos attentes ou de vos envies quant au contenu que je publie. Y a t-il des choses que vous aimeriez plus voir, ou ne plus voir, peut-être ?
Les commentaires sont ouverts, comme ils l’ont toujous été. Vous êtes l’âme de ce blog et je vous l’ai déjà dit : sans vous je n’en serais pas là aujourd’hui. Merci encore et HAPPY 6 MON BLOG !

Combishort via River Island
Lunettes de soleil en bois via Rezin
Sandales ajourées dorées via Jonak
Ballon “6” via The PopCase

10 Best Memories

5 avril 2015

Eh oui, début juin (le 1er !) mon blog aura 6 ans. Je l’ai ouvert le 1er juin 2009, avec un article concernant ma vente de doudous lors d’un marché de créateurs dans le 14ème arrondissement. J’avais convié des copines, ma sister était venue aussi et mon amoureux était passé me voir avec mon nouveau vélo vintage, qu’il avait racheté pour moi à un copain. Passion vélo, déjà à l’époque !
Six ans plus tard, mon blog est devenu mon job à temps plein; je vis des aventures complètement incroyables grâce à ce support et également grâce à vous, qui me suivez ! Sans parler de toutes les rencontres géniales que je fais : que ce soit avec des créatrices, des entrepreneurs, des passionné(e)s, des journalistes, des blogueuses ou vous mes lectrices, bien sûr. Aussi, j’ai eu envie de lister les 10 meilleurs moments vécus grâce à ce blog. Cela n’a pas été facile, il y en a évidemment bien plus de 10 (en six ans, vous imaginez ?!) mais il a bien fallu choisir. Voici mes souvenirs les plus marquants :

– Rencontrer 12 de mes lectrice et rouler à vélo ensemble –

– Faire de la plongée à Malte –

– Recevoir un Golden Blog Award –

– Personnaliser et recevoir mon propre vélo hollandais –

– Exposer des objets personnels au FRAC de Dunkerque –

$Helloitsvalentine_Bestof_frac3$

– Vous sensibiliser sur les méfaits de l’huile de palme –

– Défiler au Salon du Chocolat dans une robe unique –

– Porter des robes de créateurs à Florence –

– Participer à la campagne “Watch Hunger Stop” de Michael Kors –

– Rencontrer et interviewer Reha Hutin, fondatrice de 30 Millions d’Amis –

Et vous, quel moment, quelle découverte ou quel article avez vous préféré, pour le moment ?

Smoothie green

6 mars 2015

Par ici, pas tellement d’articles dédiés à la cuisine en tant que telle. J’ai posté une recette de crumble, un jour.
Pourtant, j’ai pas mal de choses à dire au sujet de ce que je mets dans mon assiette et de ce que je vous encourage également à changer au quoditien : boycotter l’huile de palme, réduire votre consommation de viande, manger sain facilement, dénicher un resto parisien bio et végétatien, tester des jus de légumes et fruits frais et enfin, lire un livre de recettes végétariennes délicieuses et faciles.
Dans la lignée de tout ça, je prévois de rédiger un article sur la vente directe (type “La Ruche qui dit Oui”), car c’est un sujet qui mérite d’être nettement plus discuté, mis en pratique. Je m’intéresse au bien manger, à avoir une vie saine (cela ne passe pas uniquement par l’alimentation, notez), au sport, à me sentir bien dans ma peau et par conséquent, à mieux gérer le quotidien, son lot de stress, de petits tracas et d’imprévus.

Mais venons-en à ce fameux smoothie. Mon blender vintage (qui datait des années 70, ma mamie m’en avait fait cadeau il y a quelques années) a rendu l’âme cet hiver. Je l’ai remplacé dans la journée par un nouveau modèle. blanc, assez simple. J’ai eu un moment d’hésitation avec un extracteur de jus, plus cher… et puis bon.
En tout cas, depuis ce nouvel aide culinaire, je nous prépare régulièrement des smoothies inventifs, colorés, variés, plein de bonnes choses. J’essaye au maximum d’acheter “de saison”, mais je craque de temps en temps pour des fruits qui viennent de loin (Chili pour les myrtilles de chez Marks & Spencer). C’est suremballé de packaging inutile, j’en ai bien conscience, mais les fruits de saison sont les mêmes depuis trois mois… Vivement le printemps et l’été !

Pour 2 verres de Smoothie green

– Une poire Comice (mûre)
– Une pomme Golden
– Trois grosses poignées de baby spinach (jeunes feuilles d’épinards fraîches, trouvées chez Marks & Spencer)
– Deux tasses de myrtilles fraîches ou surgelées (trouvée chez Marks & Spencer, mais les Picard surgelées sont excellentes)
– Une brique d’eau de Coco (Vaï Vaï par exemple) ou du jus de pomme

Découpez les fruits (poire et pomme) en gros cubes, en retirant le trognon et les pépins.
Lavez les myrtilles si elles sont fraîches ou mettez-les à décongeler 2 minutes en mode “Defrost” au micro-ondes si surgelées. Lavez les feuilles d’épinard.
Mettez le tout dans le blender et versez la bouteille d’eau de coco, pour diluer et aider au mélange harmonieux (sinon votre smoothie sera tout compact et tout sec). Si vous n’aimez pas l’eau de coco, remplacez par du jus de pomme ou de poire (100% pur fruit, pas de concentré chimique).
Mixez au blender (je procède par étape : d’abord doucement, puis en mode vitesse rapide, pour que le mix soit onctueux et qu’il n’y ait plus aucun morceaux). Servez dans deux verres, dégustez.
Facile et “modulable” à loisir, en fonction de vos goûts, des fruits de saison, de votre envie du jour…

Et vous, smoothie addict ? N’hésitez pas à partager votre recette préférée avec moi !

Si ce style de post vous plait, dites le moi dans un commentaire ci-dessous ou cliquez sur le petit ♥ en haut à droite de mon article. Cela me boost réellement de savoir ce que vous avez pensé du contenu que je partage, pas par envie d’avoir un maximum de “Like” ou de commentaires.
Donc allez-y, exprimez vous : un blog est là pour le partage ! Passez un excellent weekend.

Je ne porte pas de fourrure

2 février 2015

50 millions d’animaux meurent chaque année pour leur fourrure.
Ce sujet est très très sensible pour moi. Mais nous sommes en pleine saison “propice” et je vois passer tous les jours, des dizaines, des centaines de gens arborant de la vraie fourrure, majoritairement en bordure de capuche sur leur parka. Après le fléau de l’huile de Palme et les alternatives à la viande, il fallait que je vous parle de la fourrure. Oh, je sais que ce n’est pas un sujet très joyeux et qu’il est certainement plus facile de se taire, quand on est pas vegan (je ne suis que pesco végétarienne). Quelle légitimité ai-je, à aborder le sujet, alors que je porte du cuir ? Le cuir est un autre débat épineux, tout comme l’est le foie gras. Aujourd’hui j’ouvre une parenthèse sur la fourrure animale.

La fourrure provient de quels animaux ?

En premier lieu, ce sont les visons, les renards et les lapins qui arrivent en tête des animaux élevés pour leur fourrure. Viennent ensuite les castors, les chinchillas, les lynx, les zibelines, les loups, les coyotes, les ratons-laveurs et les putois.
Au-delà des élevages d’animaux à fourrures, les techniques de piégeage sont également utilisées pour capturer des animaux dans la nature. Néanmoins, ces pièges tuent ou mutilent de nombreuses « victimes collatérales » : chiens, chats, oiseaux, etc. Pour chaque animal à fourrure pris dans un piège, on estime qu’entre 1 et 10 animaux non visés sont piégés « par accident ».
Les trappeurs appellent ces prises des “déchets” en raison de leur valeur économique nulle. Oui, oui, de “déchets”…

La fourrure en quelques chiffres

La fourrure d’élevage est majoritairement produite en Europe. Celle-ci fournit 70% des visons et 63% des renards. L’Union Européenne compte 6 000 fermes familiales réparties dans 16 pays différents (essentiellement au Danemark, en Finlande, en Norvège et aux Pays-Bas). Le Danemark est le premier pays producteur de vison d’élevage avec 32% de la production mondiale.
D’après la Fondation Brigitte Bardot, qui avait réussi avec d’autres associations à enrayer cette mode dans les années 80-90, il existe aujourd’hui “une recrudescence inquiétante de la fourrure dans les magazines de mode, les défilés, mais aussi dans les rues commerçantes et populaires. Autrefois signe extérieur de richesse, la fourrure se vulgarise et devient accessible à des prix de moins en moins élevés. Je pense que cela n’aura échappé à personne, nous en voyons tous passer. J’ai moi même récemment refusé en cadeau une parka Aigle, à la capuche (amovible) bordée de fourrure véritable. Vous avez dit mal ciblé ?
De fait, le nombre d’animaux sacrifiés est en hausse. D’après la “Fur Free Alliance”, 50 millions d’animaux seraient élevés et tués à cette fin chaque année (hors lapins)… 45 millions sont issus de l’élevage, soit 85% du commerce mondial. 5 millions sont des animaux sauvages capturés dans la nature. Certains sont chassés, d’autres sont pris dans des pièges. Autant dire que les conditions de mort des animaux sont atroces.
La France compte 35 élevages d’animaux à fourrure. On y trouve une vingtaine d’élevages de visons qui produisent chaque année 190 000 individus. Une nouvelle race de lapin a même été créée génétiquement chez nous, spécialement pour sa fourrure: l’Orylag®. Il s’agit d’un lapin issu d’une mutation génétique créée par l’INRA (Institut National de Recherche Agronomique) en 1979 dans un but commercial : obtenir une fourrure plus douce et plus dense que celle du lapin traditionnel.
En Poitou-Charentes, près de 100 000 lapins Orylag® sont sacrifiés chaque année dans une trentaine de fermes d’élevages. 70 millions de fourrures de lapins sortent annuellement des abattoirs français pour alimenter le commerce de la fourrure. Quant à Émagny, dans le Doubs, c’est un élevage illégal de 9000 vison qui prospère, malgré les manifestations et pétitions qui sont organisées… Voilà à quoi cela ressemble, en partie (1ère photo) :

Quelles sont les méthodes d’abattage ?

Ce que l’on ne trouve pas sur les sites des acteurs de la fourrure, ce sont les détails sur les méthodes d’abattage. Et pour cause ! Les animaux propres au dépeçage sont élevés pendant quelques mois et sont abattus généralement dans le courant de leur première année d’existence, en automne ou en hiver, quand leur fourrure est la plus belle et la plus fournie. Les spécimens conservés pour la reproduction sont gardés plusieurs années, dans les mêmes conditions inacceptables. Le taux de mortalités dans les portées est très élevé. Les mères, stressées et souffrantes, peuvent même agresser leurs propres petits.

Le gazage : l’animal est tué par du dioxyde ou du monoxyde de carbone. La mort ne survient qu’au bout d’une vingtaine de secondes voir plus.
L’électrocution : cette méthode consiste à introduire une électrode dans l’anus de l’animal et à en attacher une autre à sa gueule. Une décharge de 1 000 volts est alors envoyée : le choc traverse le cerveau, puis descend vers le corps. Cette méthode n’assure pas une mort instantanée, mais elle tue par fibrillation cardiaque, laquelle peut être précédée d’une douleur intense.
D’autres enfin sont empoisonnés à la strychnine, substance qui paralyse leurs muscles en de douloureuses crampes et bloque leur capacité respiratoire. Les caissons de décompression et la rupture de la nuque comptent parmi les autres méthodes communément employées dans les élevages.

Comment éviter d’être tenté par de la fourrure ?

La fourrure n’est donc plus réservée à une élite. Il est désormais possible de s’offrir un manteau, un gilet sans manche très “tendance”, une toque, une veste avec une capuche en renard, en lapin, ou peut être même en chien viverrin en provenance de Chine pour un prix modique.
Pour éviter d’être tentée et surtout savoir ce que vous achetez (et cela ne vaut pas que pour le shopping “mode”, mais également pour le shopping “nourriture”) : lisez les étiquettes. Les étiquettes de fourrures provenant de Chine sont souvent erronées, comme c’est le cas pour la fourrure d’autres animaux (chiens, chats, etc). En effet, les noms sont soit falsifiés (“renard” au lieu de chat), soit traduits ou transformés. Il arrive donc parfois de lire une étiquette “wild cat”, “rabbit”, “maopee”, “goyangi”, “katzenfell”, “natuerliches mittel”, “chat de Chi”, “gatto cinesi”, “loutre brésilienne” ou “loup de Sibérie” et d’avoir entre ses mains un assemblage de peaux de chats ! Comme votre animal de compagnie, oui.
Ce que j’ajoute à titre très personnel, car je tiens un blog et que je sais combien partager ce que je porte peut être tentant pour vous, qui me suivez; mais sachez également faire la part des choses. Ce que l’on voit sur internet est évidemment tentant, mais il est bon de réfléchir un peu avant un achat impulsif. Des blogueurs et blogueuses portant de la fourrure, il y en a toujours eu (j’ai bon espoir que cela cesse, mais les cadeaux sont agréables à recevoir…). Aussi, réfléchissez par rapport à vos envies, vos valeurs personnelles : pourquoi acheter la même parka ou la même toque que X, qui la porte si bien sur ses photos ? Avez vous envie de donner votre argent à cette marque, qui fait son beurre sur la souffrance animale ?

Quelles marques de prêt-à-porter son fiables ?

Malgré la banalisation actuelle de la fourrure, de nombreuses chaînes de prêt-à-porter et des créateurs de mode ont pris la décision de ne PAS cautionner ce cruel commerce. Porter de la fourrure n’est pas un signe d’élégance mais un acte de cruauté. Vous ne trouverez donc pas du tout de fourrure dans ces enseignes (seulement de la fausse, garantie 100% synthétique) :

2xmoinscher.com
3 Suisses
Abercrombie & Fitch
Adolfo Dominguez
American Apparel
Banana Republic
Bershka
Bleu Bonheur
Brigitte Bardot Clothing Collection
C&A
Camaïeu
Caroll
Decathlon
Escada
Esprit
Filippa K
Fjällräven
Gémo
GUESS
H&M
Helly Hansen
J.Lindeberg
Lacoste
La Redoute
Mango
Marciano
Massimo Dutti
McGregor
MIM
Peak Performance
Pimkie
Polo Ralph Lauren
Promod
Pull & Bear
Scapa
Stella McCartney
Stradivarius
Zara

Parmi les stylistes qui n’utilisent pas de fourrure, il y a notamment :
Stella McCartney
Calvin Klein
Vivienne Westwood
Jay McCarroll
Tommy Hilfiger
Laure K
Véronik M
Mouléchic
Gabrielle Loodts
Franck Sorbier

Comment distinguer la vraie fourrure de la fausse ?

En la touchant. Faites rouler les poils entre l’index et le pouce. S’il y a une sensation de douceur et de souplesse, les poils s’enroulent facilement autour des doigts : VRAIE FOURRURE
Si les poils sont plus rêches : FAUSSE FOURRURE
En la regardant. Concernant les fourrures faites de poils longs, soufflez sur les poils afin qu’ils se divisent… Elle est souvent composée de plusieurs couches de poils fins, légèrement bouclés. L’ensemble forme une base épaisse, au travers de laquelle les poils plus longs dépassent. La base est en cuir : VRAIE FOURRURE
Structure plus simple, les poils sont souvent de même longueur et de couleur uniforme : FAUSSE FOURRURE
Test du feu. Tirez avec délicatesse quelques poils et portez-les au dessus d’une flamme… Si cela brûle de la même manière qu’un cheveu humain, odeur similaire (odeur de corne) : VRAIE FOURRURE
Si cela fond comme du plastique, odeur de plastique brûlé. De petites boules de plastique dures apparaissent sur les pointes : FAUSSE FOURRURE

J’espère que cet article aura pu vous faire un peu réfléchir, prendre conscience de ce que vous portez, si vous cautionnez la vraie fourrure. Les commentaires sont, comme d’habitude, ouverts à la discussion. Ils seront modérés en cas d’insultes, de propos “hors sujet” et d’agressivité inutile. Merci de rester courtois(ses), si vous vous manifestez. J’ai bien conscience que ce sujet sensible va éveiller des réactions fortes.
Sachez que je suis toute disposée à répondre à quelqu’un qui voudra bien m’écouter. Car, comme c’est trop souvent le cas, répondre à quelqu’un qui fait preuve d’intolérance ou d’irrespect dans la formulation de son commentaire, cela augure mal, vous en conviendrez.

Mes sources :
http://www.ecoloinfo.com/2008/11/24/cheres-fourrures-ecolo-info-actsense-31/
http://www.fourrure-torture.com/
http://jeneportepasdefourrure.com/
http://www.infurmation.com/
http://www.veganimal.info/spip.php?article475
http://www.cpepesc.org/Elevage-de-visons-a-Emagny-25-un.html
http://www.laissons-leur-peau-aux-animaux.org/
http://www.veganimal.info/

YUMI drinks

27 octobre 2014

Tout d’abord, merci beaucoup d’avoir été si nombreuses à réagir sous mon précédent article. Je vous ai sentie très désireuses de vous confier, de me faire part de votre ressenti face à mes questionnements et malgré les inévitables critiques, j’en ressors bien plus motivée que jamais et confiante en votre soutien ! J’ai appris beaucoup et prends note de tout ce qui a été partagé si sincèrement. Je vais prendre le temps (car c’est ultra chronophage !) de répondre à tout le monde, c’est promis.
Cet article ci n’est pas sponsorisé du tout (naze de devoir le spécifier) mais vous aviez vu passer mes Instagram durant ma “cure” YUMI et avez été quelques unes à me relancer sur la date de parution de mon compte-rendu de celle ci. Le voilà, donc.

♫♪ Bosco Rogers – The Middle ♪♫

C’est quoi YUMI ?

Vous l’avez vu passer sur Instagram, durant une semaine j’ai testé “La Fessée”, “Pacemaker”, “No Stress”, “L’Invincible”, “Le Modjo”, “L’Antidote”, “Focus”… Drôles de noms ! Mais qu’est-ce qui se cache derrière, concrètement ? Eh bien derrière cette marque, il y a Louis et Raphaël associés ayant eu envie de produire à plus grande échelle leurs jus “fait maison dans la cuisine”, des jus riches et frais pour tout le monde. Leur volonté a été de commercialiser leurs recettes sans tout gâcher en pasteurisant les jus. Ils sont sont penchés sur une technologie nouvellement appliquée aux aliments, développée au Japon : le HPP (ou traitement par Haute Pression Hydrostatique).
Il leur a fallu également trouver un endroit qui rassemble à la fois la technologie HPP et un approvisionnement en légumes de qualité. Cela, ils ont finalement réussi à le créer avec un professionnel des légumes et des fruits, passionné de gastronomie qui approvisionne tous les jours les grands restaurants étoilés catalans, à 200km du bassin maraîcher des Pyrénées-Orientales. C’est drôle, c’est de la que vient mon copain (né à Céret) !

Ça sert à quoi ces jus de légumes et fruits frais pressés ?

Après avoir essayé la cure Detox Delight, la cure de thé Tinytea, c’est au tour des jus de légumes (et fruits) YUMI d’être détaillés ici.
Alors, à l’inverse des marques sus-citées, il ne s’agit pas à proprement parler d’une cure. On ne boit pas uniquement des jus Yumi pendant un temps “imposé”, on mange normalement et on boit (si possible) un jus YUMI à jeun le matin, pour bénéficier de tous les bienfaits des jus de légumes et fruits pressés, sans aucun additif ou ajout quelconque dedans.
Comme expliqué sur le site : “Plusieurs études sur les bienfaits des légumes ont démontré le lien existant entre la consommation de fruits et légumes et la diminution du risque de maladie cardiovasculaire, de cancers et autres maladies chroniques.” Pour en savoir plus sur les bienfaits des légumes, c’est par ici !

Ils sont bons au moins, ces jus ?

Je suis toujours très sincère ici, aussi je dois reconnaître avoir été surprise en débouchant ma première bouteille de YUMI et en goûtant. Je ne me souviens plus quel jus c’était, mais je m’attendais à quelque chose de plus sucré et ces jus pressés ne le sont absolument pas malgré la présence de quelques fruits. C’est déstabilisant au début, mais on s’y fait. Une bouteille contient au minimum 600 grammes de légumes et fruits frais. Les jus de légumes étant naturellement peu sucrés (3 à 6 g de sucre pour 100 ml chez Yumi) ils ne provoquent pas de pics de glycémie (il est donc bien de les consommer dans la matinée). Concernant les calories, il y en a entre 90 et 140 par bouteille.
Mon “mix” préféré est L’Invincible” : mariage réussi de la myrtille et de la betterave. Mais en fait, une fois que vous vous êtes habitué au goût des jus pressés au saut du lit, ils sont tous intéressants et je m’amusais à essayer de deviner ce qu’ils contenaient avant de lire l’étiquette. Pour ma part, ce sont surtout leurs bienfaits qui m’intéressaient donc je les buvais à petites gorgées en me disant que c’était bon pour mon corps. Ça passe bien mieux psychologiquement que de s’envoyer un Chaï Tea Latte soja Starbucks à 4785 calories le gobelet… hin hin !

Si je veux tester, comment ça marche ?

Vous avez 3 pack de jus existants : “Épicurien”, “Héros Urbain”, “Green Guru” et un 4ème pack est réalisable sur-mesure si vous vous abonnez. Pour vois ce que chaque pack contient, c’est par là ! Chaque pack coûte 39€ hors abonnement, 33 ou 35€ si vous vous abonnez, selon la formule choisie (toutes les semaines ou tous les quinze jours).
La livraison d’une cure YUMI se fait par pack de 7 bouteilles afin de profiter des bienfaits des légumes tous les jours de la semaine; la livraison est offerte à Paris et coûte 6€ pour le reste de la France Métropolitaine.
Les jus sont livrées à domicile ou au bureau, le lendemain de la commande entre 9h et 18h (hors weekend et jours fériés) et il convient de bien conserver les jus au frais après réception !

Le petit plus ?

Voici un mot de passe pour que vous, mes chères lectrices, receviez une 8ème bouteille en plus des 7 inclues dans tous les packs. Il s’agit de “GreenValentine” et c’est à mettre dans les notes de commande au moment du checkout (validation du panier). Cadeau !

Top et jean taille haute Monki (old)
Baskets tie & dye via Converse
Montre “Classic Trinity Lady” via Daniel Wellington
Vernis ivoire “My Vampire Is Buff” OPI
Vernis rouge ” Big Apple Red” OPI

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